Mercredi 5 octobre
Frédéric Abergel, une aventure éditoriale
La Compagnie des œillets est heureuse de vous présenter Frédéric Abergel, un « écrivain-marcheur-gastronome », c'est-à-dire quelqu'un qui parcourt des kilomètres à pied, tous les sens offerts au feu d'un pad thaï péruvien, au boisé de la "brisole" grecque, au fumet d'un maquereau tokyoïte, ou au soyeux d'une « croix de Savoie » bien française.
Ces plaisirs très personnels, alliés à celui de l'écriture (la poésie est une autre de ses gourmandises : lire les chroniques du Gastéropode, un estomac avec des pieds...) lui ont donné le goût de partager le sens de la quête de lieux et de mets gourmands, et surtout de sensations gustatives lentement apprivoisées.
Ces pérégrinations épicuriennes ont donné naissance à une collection de littérature de voyage aux éditions Nanika : « Les mangeurs de ville ».
Nous vous invitons à suivre le parcours gustatif et littéraire de Frédéric Abergel et de sa maison d'édition le mercredi 5 octobre au C 33, 33 rue Raspail
Ivry-sur-Seine. Rendez-vous à 19 h 30
Et comme d'habitude, vous pouvez venir accompagnés d'amis intéressés par les activités de la Compagnie des œillets et armés de quelque solide ou liquide à partager...
En hommage au livre de Jean Rolin, "Le Pont de Bezons", publié en 2020 (éd. P .O.L.), la photographe Hélène Tourbine est partie sur les traces de cette déambulation le long des berges de la Seine. C'est autant un exercice d'admiration pour le travail de l'écrivain qu'un témoignage sur des territoires de banlieue au sens étymologique du terme.
Venez découvrir ce sculpteur, plasticien et designer qui fabrique de la beauté avec du papier et de la lumière.
La Compagnie des œillets invite Ariane Labonté à présenter son spectacle Cont’Certo. Accompagnée du violoniste Corentin Boizot-Blaise, la conteuse québécoise manie humour, slam, poésie, jeux de mots et chansons « turluttées » dans une fable où le récit (ré-si) et la musique invitent joyeusement à la liberté d’être.
Ce spectacle original et fantaisiste est à entendre comme une métaphore où l’on peut « s’entendre » à tout.
